et alors

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Catherine GRANGIER
Plasticienne

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Grangier
blanc© C. Grangier
À mon seul désir, variations sur papier


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© C. Grangier
         Ma démarche artistique prend racine dans la sphère de l’intime et de la quotidienneté. À l’origine de ma réflexion prédomine un questionnement sur mon identité de femme et de femme - artiste.Je m’approprie les acquis du féminisme, je me penche de façon ludique sur les questions de l’identité, de l’apparence, et donc plus généralement, du rapport à l’Autre.Je convertis les actes les plus simples en processus artistique. En investissant des situations anodines, quotidiennes, je propose au spectateur une nouvelle lecture de ces actions et des espaces du quotidien.Mon travail artistique est aussi un « art narratif » où l’utilisation des mots, l’écriture et l’agencement de textes sont fondamentaux. J’aime associer et provoquer la rencontre entre l’image, l’idée et le mot, induire un décalage entre ces éléments et créer ainsi une interaction entre l’œuvre et le spectateur.Le lieu d’exposition représente également un paramètre essentiel dans le mécanisme de création. En effet, chacune de mes interventions tient compte de l’espace qui m’est proposé. C’est pour moi à la fois, une contrainte stimulante (créer en fonction d’un espace donné, de son architecture, de sa fonction, de son histoire) et aussi un moyen d’aller au-delà de ma sphère privée.Mes installations ont une apparence polymorphe, les matériaux et les techniques que j’emploie sont multiples et découlent du concept de l’œuvre. La linogravure demeure cependant une technique récurrente qui me permet d’utiliser de nombreux supports et de travailler sur l’idée de série.Beaucoup artistes m’inspirent et nourrissent mes réflexions :
Un écrivain tel que Georges Perec, qui a utilisé la contrainte comme source d’inspiration, me séduit par son approche ludique de l’écriture, ou encore Katherine Mansfield qui transforme des choses banales et imperceptibles en histoire singulière.Dans le domaine de la gravure, les xylographies en noir et banc de Félix Vallotton sont une référence pour moi ainsi que les estampes japonaises, dont j’admire les motifs textiles, les cadrages, et le mélange texte/image.Et tout particulièrement les artistes – femmes plasticiennes comme Louise Bourgeois, Annette Messager, Sophie Calle, Jenny Holzer pour leur travail sur l’intimité, leur questionnement sur la femme et le regard de l’autre.
         Catherine Grangier

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Catherine Grangier-DurandardblancCatherine Grangier-Durandard© C. Grangier
         Et un corset «en attendant le prince charmant»
Le jour tombait, Gabrielle s'enferma dans la salle de bains. Elle se déshabilla, quitta ses vêtements de jour, son costume de mère, de femme active. Elle se plongea dans l'eau tiède de la baignoire. Des souvenirs d'un autre âge lui revenaient en mémoire…
Elle ôta sa bague, ses seins se tendirent sous l'effet d'un pincement fantôme, elle frissonna. Elle s'imagina de lourds brocarts et un feu de cheminée pour la réchauffer. Elle sortit du bain, abandonnant ses rêves au fil de l'eau et enfila, comme une seconde peau — sa peau d'amante — une parure nocturne, pour attendre son prince charmant…
(Petite rêverie pour un corset, d'après la peinture anonyme de l'école de Fontainebleau "Gabrielle d'Estrées et l'une de ses sœurs", 1595)

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Catherine Grangier-DurandardblancCatherine Grangier-DurandardblancCatherine Grangier-DurandardblancCatherine Grangier-DurandardblancCatherine Grangier-Durandardblanc© C. Grangier
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Linge délicat 30°, genèse d’une exposition…
         La rencontre avec ce lieu, une ancienne blanchisserie a fait surgir chez moi :Des images, des idées, des mots, des réflexions…
Directement inspirées de l’idée de la blanchisserie, les trois photos (au-delà du miroir) sur les tables sont une invitation à regarder le quotidien autrement, à se laisser emporter dans le hublot de la machine, à plonger dans la lessive…
La robe de princesse, mariée mise à nu, (Cendrillon) fait également référence à mon envie d’interroger les apparences, le quotidien…Des odeurs...
L’odeur particulière de la blanchisserie… Imaginer un travail qui évoque cette odeur… regarder mes vêtements avec l’œil de la « blanchisseuse » cela donne mes vêtements et leurs symboles de « lavage » gravés sur des savons (la petite marseillaise)… un travail qui joue sur l’odeur, la lessive, et comme une réponse, un clin d’œil au travail de Hans-Peter Feldmann « Alle kleider einer frau »…Des souvenirs...
Je me souviens d’une blanchisserie où j’allais quand j’étais petite avec ma mère…il y avait tous ces vêtements accrochés à des cintres…toutes ces tenues possibles… j’aimais imaginer les personnes à qui ils appartenaient… : les 12 robes (rumeurs de robes) en sont une résurgence…
Elles sont aussi liées à mon questionnement sur l’apparence, et le regard de l’Autre… (une référence aux « histoires de robes » d’Annette Messager)
Les mouchoirs (au bord des larmes) sont liés, dans mon imaginaire, à la blanchisserie par le récit de Béatrix Potter, « Poupette à l’épingle », que me racontait ma grand-mère.
Feuilleter les mouchoirs comme un livre… s’inventer des raisons de pleurer, interpréter une image…., une autre façon d’interroger les apparences, de questionner le lien texte/image…Et les contraintes architecturales de l’espace ont fait émerger la queue de sirène (cire-reine), née à la fois en écho à la robe de « Cendrillon » et en réponse à la fenêtre de la mezzanine…Quand au mur de robes (wall paper dresses), déclinaison des expressions utilisant le mot « blanc », avec pour contrainte de créer une robe… envahir l’espace, épingler les robes, les mots comme des papillons, concevoir une œuvre pour un espace donné (le mur de la galerie) en lien avec son histoire, son passé de blanchisserie… Jouer sur l’idée d’accumulation, de série, de collection…
         Catherine Grangier

Catherine Grangier-Durandard Jas Cafe NYCblancCatherine Grangier-fracasCatherine Grangier-Durandard© C. Grangier
Catherine Grangier ou le quotidien en costume
         L’objet sans théâtre est un objet de but en blanc, qui se réduit à sa présence même.
Chez C.G.D, comme dans l’art minimal, l’objet se veut loin du sens, du double sens. On le reconnaît, on le sait, on le saisit d’un coup d’œil. Ici le savon dit et est savon. Il réitère de manière quasi tautologique sa fonction : sur une face, l’habit à laver, sur l’autre les signes indicatifs du mode de lavage.
Il assume sa présence et revendique sa fonction : le lavage. Les robes que conçoit l’artiste reprennent elles aussi en partie leur fonction. On passe derrière, laissant nos pieds et notre tête visible. Les robes reprennent et joue avec l’échelle humaine, comme Sol Le Witt.Le côté théâtre c’est là où l’objet signifie et se creuse vers un ailleurs. Par exemple, quand il s’agit de symbole, il se creuse et pointe quelque chose de précis. L’objet devient alors le lien entre vous et le monde culturel dans lequel vous vous inscrivez. Il rend compte de votre place suivant que vous voyiez dans la pomme l’idée de poison (référence à Blanche Neige), l’idée du bien être ou de la faute.Au lieu de se creuser, les objets de C.G.D ricochent, rebondissent vers nos gestes et nos attitudes. Parlez-moi de votre lessive, je vous dirais qui vous êtes. C’est là qu’intervient Annette Messager et la part d’affect que nous portons aux objets.Ils nous entourent et parlent de nous, nous ne pouvons y être indifférents. Notre utilisation n’en est pas anodine, n’est pas dénuée de signification. Que disent-ils sans que nous en ayons quelconque maîtrise ?
L’habit, cette couverture indispensable, a mille et une combinaisons, regardez les magasins. Il parle d’image et assurance.
Sur le mur de robes… Je me rends dans des chalets donc bois blanc et robe de bois…
C.G.D nous habille pour des instants et des sentiments universels sués et transpirés par des mots et des expressions toutes faites de tous les jours.
Quand l’affect construit l’objet, le sentiment induit le motif de la robe.
Parce que oui, ce que l’on n’a pas dit, c’est que ce sont les filles qui pleurent, souvent elles qui font la lessive, surtout quand il s’agit de la faire à la main, elles s’épilent et portent des tampax.
Parce que oui, quand on parle d’image et d’assurance, on parle de soi face aux rêves de petite fille.
Que fait-on de tous ces rêves, de toutes ces projections vers l’avenir maintenant que l’avenir est là ? Que fait-on pour ne pas oublier l’enfance ?
On ne m’avait pas forcément dit que j’allais porter des tampons, mais c’est sûr j’avais entendu parler des princesses.
On ne m’avait pas dit que j’allais devoir m’épiler mais la plus belle c’était forcément la sirène.
Tout cela peut être considéré comme un fardeau, le poids du quotidien, d’un corps à entretenir, le poids des clichés qui mine de rien nous ont forgés.
Alors au lieu de porter ce fardeau, C.G.D joue. On ne sait pas si elle joue avec l’art ou avec le quotidien. Elle active le mythe de la jeune fille dans le quotidien de la femme. Elle émince l’art dans son quotidien et c’est finalement le quotidien qui est en vitrine aujourd’hui. Elle réactive le banal comme le linge qui sort de la machine.
Il ne s’agit pas de masquer les petits riens sous couvert de la poésie et de parler du vent qui souffle dans le linge qui flotte au vent. Non, il n’y a pas besoin de poésie pour remplir le vide entre le mythe et le quotidien.
En ce qui concerne la tristesse et l’apparence, ce vide prévu et ressenti, comment faites-vous pour faire le grand écart ?
L’œuvre de C.G.D s’adresse à vous, il vous questionne, vous qui êtes comme elle. Vous n’êtes pas différents de l’artiste face aux mythes, au quotidien, aux rêves et aux tristesses.
La simple arrière-pensée des mots, le simple revers d’une robe.

Catherine Grangier bafoue et rejoue le quotidien.
Le commun s’étiole si on le regarde bien, il se décortique si on le regarde mieux.
L’artiste dégorge nos habitudes de leur banalité. Elle met en porte à faux les filles, les femmes et leurs rituels.
         Laetitia Bischoff


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© C. Grangier
Secret Wor(l)ds, série de dessin «tatouage» sur photos.

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© C. Grangier
Without a backward glance et un autre interlude pour une petite série de dessins, inspirés par le titre d'un recueil de poèmes de Ron Butline.

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Des papiers peints ou des tableaux ?
«Je me promène à la frontière entre espace privé et espace public. Je joue avec les mots et les apparences, je revisite les lieux communs et j'interroge, de manière ludique, l'idée d'identité, de féminité et de transmission. Je m'interroge sur la féminité, sur mon statut de fille, de mère et de femme-artiste, et sur les questions de filiation. Je m'approprie les acquis du féminisme, je joue avec les stéréotypes, je me penche de façon ludique sur les questions de l'identité, de l'apparence, et donc plus généralement, du rapport à l'Autre. Je me promène à la frontière entre espace privé et espace public. Je cherche les limites entre mon corps et l'espace qui l'entoure. J'utilise de façon récurrente le vêtement et particulièrement la robe, en tant qu'archétype de la représentation féminine . Mon travail artistique est aussi un  art narratif . J'aime associer et provoquer la rencontre entre l'image, l'idée et le mot, induire un décalage entre ces éléments et inviter ainsi les spectateurs à se raconter leur propre histoire. Mes installations ont une apparence polymorphe, les matériaux et les techniques que j'emploie sont multiples et découlent du concept de l'œuvre, chacun, à sa manière, me permettant de poursuivre ma réflexion sur la féminité.»
http://www.art-openwall.fr/fr/collections/58-desir-vert-papier-peint-erotique.html

Catherine GRANGIER-DURANDADblancCatherine GRANGIER-DURANDADblancCatherine GRANGIER-DURANDADblancCatherine GRANGIER-DURANDADblancCatherine GRANGIER-DURANDADblancGrangier-papier peintblancblancCatherine GRANGIERblanc© C. Grangier


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Formations
1992 — Diplôme Universitaire et Technologique (DUT), option Documentation – Dijon
1990 — Diplôme de l’École Supérieure des Beaux-Arts, option Expression Graphique – Genève
1986 — DEUG Histoire de l’Art - Concordia University – Montréal

Expériences professionnelles
2005 — Mise en espace de « Lire en fête », Bibliothèque municipale — La Côte St André (38)
1992/1994 — Documentaliste, Musée d’Art et d’Histoire — Genève.

Illustrations
2001 — « Familles d’images », signalétique pour une exposition Musée d’Art et d’Histoire — Genève.
1997 — « Fihavanana » de P. Grosjean, Editions Belle Rivière — Lausanne.
1994/2006 — Journal communal — Prévessin-Moëns
1989 — « Mont-Blanc Story » de P. Gindraux, Editions Slatkine — Genève.
1988/1989 — Fichier littéraire, Éditions (Gallimard) — Genève.


         « À corps perdu… »
Créer une trame de départ, et la laisser se développer dans la ville grâce à la participation des habitants… Mettre en place un « dispositif » pour déclencher une vision différente, pour percevoir autrement la réalité, créer des petites fenêtres dans le quotidien, des ouvertures dans l'imaginaire… Semer des affiches, des mots comme des petits cailloux et puis laisser agir les rencontres, composer avec le hasard…
La trame, j'ai repris, illustré et décliné une série d'expressions avec le verbe perdre sur de petites affichettes. Ces « avis de recherche » accompagnés comme « les vrais » d'un numéro de téléphone sont collés dans la ville… Marquer le territoire urbain, intervenir dans la ville, mais de manière ténue, presque imperceptible, tisser un réseau fragile d'images, qui à première vue, ressemblent à ce que l'on voit, mais légèrement décalées, pour apporter une touche de poésie, une réflexion, une question… Inviter les passants à intervenir en téléphonant et laissant un message…
Comme Cléo perdue dans la ville, partir de la perte pour créer un chemin, partir de moi pour aller vers les autres, partir d'images pour trouver des mots, se perdre pour mieux aller à la rencontre de l'autre… Les messages recueillis seraient ensuite enregistrés et diffusés grâce à une bande son, avec les affiches dans un lieu à définir… Le travail exposé serait le résultat, l'aboutissement du processus…


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© C. Grangier
Sous les jupes des filles ...(encore !)
Je continue de décliner "sous les jupes....", après les linogravures, sur papier et sur culottes et puis le livre... voilà le papier peint !!!

La femme sans fracas.
Faire sien les attributs féminins exclusifs et sans partage.
Les tapisser, les poétiser, travailler leur répétition colorée comme Warhol travaille nos mythes contemporains. Ne pas oublier la justesse d'une timidité. Chercher les recoins d'un territoire cliché. L'arpenter en long et en large d'un bout à l'autre d'une corde à linge. Saupoudrer d'humour et de finesse la femme coquine, simple amoureuse et dévouée. Faire le portrait de celle Qui n'est pas chienne qui sait qu'il y en a tant d'autres comme elle. Aborder dessous et dessus avec une même candeur. Croquer celle qui se fait seule avec rêves et sans miroir. Catherine Grangier refait les murs, les sols et les espaces recouvrant où corps et maison sont deux couches d'une même peau. La femme règne en maître sur de tendres phrases. Laëtitia Biscoff 2013

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Collections
La Cajita, Cordoba, Espagne
La Sala de Blas, Malaga, Espagne
L'inventaire, artothèque du Nord Pas-de-Calais
Œuvres dans des collections privées en Espagne, Écosse, Suisse, Italie et France

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Ateliers, conférences, discussions (sélection)
2011 Association « Regards de femmes » Lyon, France « Femme, plasticienne au quotidien »
2009 National Gallery, Edinburgh, Scotland « Let's dress Venus »
et régulièrement, de nombreux ateliers dans des écoles, musées, bibliothèques en France, Écosse et Suisse.


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Catherine GRANGIERblancCatherine GRANGIERblanc© DR
Interlude pour un petit théâtre sans ombres...
2016 Lectures de la compagnie Onditout - Quelques-unes de mes oeuvres étaient sous les projecteurs. Elles ont fait les stars grâce à Chantal, Simone, Pascale et Colette! Elles ont fait les stars accompagnées de textes d'Aristophane, Niki de Saint Phalle, Carole Martinez, Virginie Despentes, et j'en oublie...



Catherine Grangier-Durandard



















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