et alors

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Jean DESMIER
Peintre-Plasticien


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Jean DESMIER

blancJean DESMIERblancJean DESMIERblancJean DESMIERblancJean DESMIERblancJean DESMIER © photos Th.Desmier
blancRoman-Photo 73
Roman-Photo 73 n'a pas de sens. Et ce, dans tous les sens du terme. Cette histoire n'en est pas une. Elle n'a ni début ni fin. Pas plus que de signification revendiquée d'un propos sinon celle que le regard voudra bien découvrir. L'œil s'y promènera comme bon lui semblera.
Roman-Photo 73 est avant tout l'histoire d'une rencontre, celle de différents langages cherchant à s'épauler, s'interpénétrer, dans la quête du Faire apparaître. D'abord il y eut les mots, la tentative de l'écriture romanesque provoquant la naissance de personnages emblématiques des mœurs humaines : l'ordre, l'autorité, la dépravation, l'innocence, le vertueux… L'aventure de l'imaginaire était ainsi ouverte. Puis, il y eut le désir de mettre en situation ces archétypes dans les chambres et les couloirs d'un vieil hôtel. Enfin, vint le temps de laisser ces langages bavarder entre eux. À l'auteur de les écouter.



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Desmier
blancDesmierblancDesmierblancDesmierblancDesmierblancDesmierblancblanc© photos Th.Desmier
Radical
Craie noire, fusain, mine de carbone. Noir et blanc. Evoquer nos sentiments, nos corps, nos rêves, nos émotions, nos désirs, nos doutes, nos souvenirs… Jean Desmier dessine, bouscule, bascule, titille le fil du corps à corps, sur la pointe des pieds. Accroche la lumière et d'un coup de noir profond fait vibrer le sujet. Jean Desmier aime caresser la perspective, jouer des lignes comme des souvenirs. Face à face, il préfère évoquer ses carnets, ses écrits, ses bouts de dessins, ses flous. Le noir et le blanc, la pudeur des sentiments. Rachel Hardouin


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Jean DesmierblancJean DesmierblancJean DesmierblancJean DesmierblancJean DesmierblancJean DesmierblancJean DesmierblancJean DesmierblancDesmierblanc© photos Th. Desmier
Les Chaises
Devant La Chaise à la pipe de Van Gogh, cette impression bouleversante que l'intense attention portée à cette chaise pour la peindre concentre en elle tout ce qui fait l'existence d'un homme en ce qu'elle a de plus profond. Dans cette peinture, plus rien d'autre au monde que le peintre et ce qu'il voit. C'est l'instant fusionnel, l'amour par le regard voué au regard et Van Gogh y est le sublime amant des simples choses. Une chaise. Une pipe. L'absolu du presque rien. Le presque rien. L'absolu.
Dans cette travée de Fort Liedot et la rythmant de cet autre écho des vestiges et hauts arbres alignés des Alyscamps que Van Gogh aimait aussi à peindre, l'installation de 16 dessins Chaise à la pipe aimerait lui rendre modestement hommage. Jean Desmier


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Les Enclos
Les Enclos sont comme des jardins secrets entourés d'océans ou de noirs profonds. Fermés en apparence, ces lieux ouvrent à d'autres libertés. Liberté de jouer, de rêver, de mêler rêve et réalité. Liberté d'endosser les rôles de l'éphémère ou de l'éternel.

Quelques signes doivent suffire à traduire cela, signes dont la distance qui les sépare, leur tension lumineuse et leur façon de s'inscrire dans le noir et le blanc en font les seules véritables clefs de ces jardins. Ainsi que l'existence du dessin en tant que tel doit être l'unique garante de ces passions encloses.

La narration plastique est possible tant qu'elle demeure source du dessin dans sa matérialité. Dès qu'elle se fait trop pesante, elle doit s'arrêter. Francis Bacon, dans un entretien avec David Sylvester, traiterait presque de pleutres les « abstraits » qui, pour lui, cherchent à fuir la difficulté de la figuration. Malgré l'impression un peu réactionnaire qu'il pourrait sembler générer, ce propos pose le véritable problème. Le désir de peindre prend forcément corps (entre-autres) dans une impulsion de traduire — que celle-ci soit née sensation, concept, événement poétique, récit... — et vivra, tout le long du processus créatif qui lui fera suite, en bonne entente, ou au contraire, vilainement encombré par cette phase inévitable de sa propre émergence.
De cet accord entre le désir de traduire et celui de respecter l'énergie propre à l'acte de peindre, dans le maintien constant de ce périlleux équilibre, dépendra l'apparition d'une juste résonance finale en étant parvenu, pour le peintre abstrait, à ne pas sombrer corps et bien dans les abysses esthétisantes du formalisme, et pour le figuratif, dans celles d'un illustratif complaisant et réducteur.
Jean Desmier


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blancblancblancJean DESMIERblanc
Jean Desmier dessin blancJean DesmierblancJean DesmierblancVenise Jean Desmier dessin fusain blancJean DesmierblancJean Desmier dessin blancJean DesmierblancJean Desmierblanc© photos ADM
Je dessine
Exclusivement en noir et blanc. Essentiellement sur papier.
Il ne me semble pas avoir choisi cette « façon de procéder ». Elle s'est imposée d'elle-même, comme source pourvoyeuse d'inusables lumières que je ressens sans doute comme les plus conniventes de l'intimité et de l'intériorité. Le travail de dessin, outre le fait de répondre à sa propre exigence plastique, a chevauché une succession de récits dont les miroirs émotionnels reflétaient les différents états. Mais tout cela, finalement, ne construit qu'une seule histoire, qui, comme toute aspiration d'une œuvre humaine va tenir à la fois du bien peu et de la plus grande importance. Car le récit n'est qu'un prétexte à rejoindre le guet, celui d'où il sera possible de percevoir autrement la relation de son propre vécu avec les aléas du monde. Dessiner pour ne pas être avalé ? Certainement.
Mais dessiner surtout pour être plus présent à la beauté des choses dont seule la nécessité d'aimer sait donner la vraie mesure.
Jean Desmier, mai 2007


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Jean DesmierblancJean DesmierblancJean DesmierblancJean DesmierblancJean DesmierblancJean DesmierblancJean DesmierblancJean DesmierblancJean DESMIERblancJean DESMIERblancJean DesmierblancJean Desmierblanc© photos ADM
Portraits
Un bouquet sur une table, évident dans sa banalité, se présente frontalement.
Un corps à l'échelle du nôtre, un face à face sans détour.
Dans les dix-huit variations de ce face à face, nous sommes happés par la présence de ce corps/signe. Il est devenu espace, chaque fois différent, et l'on va de l'un à l'autre comme on interrogerait dans une galerie de portraits l'aura de chaque personnage, son léger basculement, le mouvement infime qui le maintient en tension, le noir insondable qui le projette dans la lumière, ou inversement le corps noir comme détaché de l'ombre mouvante dont il est issu.
Table et bouquet fusionnent en un seul signe, acteur de l'espace qu'il engendre, prétexte du vrai propos, celui de la lumière, inlassablement convoquée dans les tensions des noirs somptueux, des blancs révélés, des gris caressés, gravés, griffés…
La lumière est devenue matière, matière noire et matière blanche, épiphanie sensuelle chaque fois renouvelée par la force du signe vainqueur du "sujet".
Annick Maulion


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Jean Desmierblanc
Jean DesmierblancJean DesmierblancJean DesmierblancJean DesmierblancJean DESMIERblancJean DesmierblancJean Desmier© photos ADM
Le corps du dessin
Une forme est une forme, est une forme est une forme, c'est comme ceci que cela, tout en se bouclant, devrait s'énoncer désormais, à l'infini. Par une large et longue coulée de mots, continue, ininterrompue.
(Mais cette logique, je ne crois pas qu'elle soit vraiment acquise, aujourd'hui.)
Une femme ; un meuble dans l'espace ; une brosse à cheveux ; un miroir : quoi de plus simple ? Une nature morte, un objet, des fleurs, dans leur simplicité native, leur virginité, leur charnelle innocence, peuvent commander dans les deux sens du terme, un dessin.
Un bien modeste bouquet sur un bien modeste guéridon, qui se présente frontalement. Un bouquet sur une table, évident dans sa banalité — les pommes du maître d'Aix, le Fort d'Antibes, la série des Billards, de Braque — mais à chaque fois dissemblable, dans chacun de ses états.
Variations formelles…
Sachant qu'une forme n'est jamais neutre, voilà forclose la « bien encombrante question du sujet ». C'est en tâtonnant que l'œuvre s'élabore. L'artiste gomme, efface, pétrit, malaxe. Il dessine comme un peintre peint. « Je laboure le papier je me prends des crampes dans la main » constate-t-il. « Pénétrer le blanc. Je suis en permanence dans la gravure ».
Graver : ce qui se grave (gravité), engage (Graben). Le travail va dès lors légitimer le dessin. Quelque chose qui n'a plus de rapport assujetti à l'image viendra diriger le tout. Car, à un moment, c'est la matière qui dirige le dessin. Non plus le dessin préalable, initial, balbutiant, mais ces noirs somptueux, satinés, ces gris variés, ces blancs évanescents, diaphanes. Le dessin comme matière, comme espace. Comme territoire d'expérimentation, qui détermine à mesure ses propres besoins. (Ce ne sera pas sans repentirs). Les différentes aspérités, les nœuds, les ligatures du dessin. Saignées, rotules, poplités. Qui s'allongent, se retendent, s'odalisquent, se nidifient, se lovent et se replient sur eux-mêmes en position fœtale.
De « dessineur », comme il se qualifie volontiers, d'« écriteur » (ibidem), Desmier devient « dessinant ». Il est, se fait, le scripteur de l'immarcescible évolution du réel. D'un temps déplié, qui habiterait tout entier dans un seul espace. Les hiérarchies perspectives des Très Riches Heures du Duc de Berry, c'est à cet endroit-là qu'il se trouve, de ce côté-là de la barrière. Dans ces terres jadis… Uccello, les Batailles de San Romano, le lièvre véloce qu'on y chasse à l'arrière-plan à l'arbalète. Genet, sur Rembrandt. Verlaine, sur Titien. Claudel, bien sûr Les écrivains… Barthes, écrivant sur CyTwombly. Se souvient-on encore de ce film, qui avait fait scandale, un film québécois de Gilles Carie, La Vraie Nature de Bernadette (1972) ? La quête de Jean Desmier, à travers ses dessins du corps de femmes et de jeunes gens nus, de bouquets de fleurs (mais c'est la même chose, Mapplethorpe l'aura rappelé), est celle de la vraie nature, tellement polyvoque ! du dessin. Il dessine des corps mais c'est le corps du dessin, sur le fond, qui le préoccupe…
La Bataille de Pharsale, de Claude Simon n'est que, et surtout !, La Bataille de la Phrase. Pas le récit d'une aventure, mais l'aventure d'un récit. « Mon grand problème étant de lutter contre le naturalisme, soit en passant par l'archaïsme, soit en "totémisant" les figures. » L'espace ne vient pas des images. Il vient des relations que celles-ci entretiennent entre elles. Un dessin restant cloisonné dans son image sera par essence perdu. (Fonds de Chardin ? Petit pot d'olives : se reporter à Diderot). Que voit-on ? Lancinante question.
Pour Desmier ce qui « tient », au sens où un matelot « tient » son gouvernail, qu'une démonstration mathématique « tient » scientifiquement, qu'un soiffard « tient » l'alcool, c'est ce qu'il y a derrière l'apparence. Son dessein étant de faire apparaître l'apparence, de traverser l'apparence, voir derrière elle et, par dilution de celle-ci, capter un autre essentiel. Car soudain quelque chose se dévoile, surgit !… Pas de doctrine, de l'empirisme, mais un je-ne-sais-quoi choisissant de se révéler.
La force du travail de Jean Desmier à mes yeux, est de rendre visible, à qui veut voir (je serais assez enclin d'indiquer ce dernier verbe en italiques, typos, typographiez !), ce qui advient par un phénomène de surgissement naturel. De débusquer enfin ! (comme ces autres nigauds-là, à l'époque des Médicis, chassant le lièvre-moqueur à l'arbalète), ces signes qui ne décriraient pas les choses, mais qui existeraient par eux-mêmes, bruts de décoffrage.
Seuls. Dans leur souveraineté plénière.
        Alain (Georges) Leduc [Paris, 12 avril 2012.]
        Membre de l'Association internationale des Critiques d'Art (A.I.C.A.), de l'Association internationale des Sociologues de Langue française (A.I.S.LF.), et de l'Association française des Anthropologues (A.F.A.)


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Déclinaison pour une belle amoureuse Jean Desmier blancDéclinaison pour une belle amoureuse Jean Desmier blancDéclinaison pour une belle amoureuse Jean Desmier blancJean Desmier dessin blancJean Desmier dessin blanc© photos ADM
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Jean Desmier
« Je veux m'approcher d'une vision sensorielle qui est plus vaste qu'un rangement du près au loin voulu par la perspective. » Jean Desmier
  Le noir… Le blanc… Pourquoi est-ce là les couleurs essentielles ? Les seuls que vous pratiquez ?
Dans le blanc et le noir il y a toutes les couleurs. Ce sont des outils fondamentaux. Les moyens les plus extrêmes d'enclencher la lumière.
Le blanc… Le noir… Pourquoi exclure les autres couleurs ?
Les couleurs me procuraient une sensation d'artifice, et quand je suis passé de la peinture au dessin j'ai senti que ma relation – ça peut sembler paradoxal – à la couleur passait par le noir et blanc.
Pourquoi votre abandon systématique de la perspective ?
Enseignant dans une école d'architecture j'étais choqué de voir combien les étudiants dépendaient du système de représentation découlant de la perspective. Combien ils étaient passifs devant ce qui n'était qu'un moyen de représenter les choses. Combien on peut confondre vision en perspective et vision humaine. Moi, je veux m'approcher d'une vision sensorielle qui est plus vaste qu'un rangement du près au loin voulu par la perspective. Au départ celle-ci appartenait à une pensée. Maintenant elle ne relève que du schéma.
Les formes qui vous inspirent ?
Plutôt que de formes je parlerais de relation, de ce qui se passe entre une forme et une autre. Le vide m'intéresse plus que la forme. Le dessin est mis en relation et chaque chose est actrice dans l'espace. C'est pourquoi je parle de théâtralité.
Entre le noir et le blanc il y a le gris, avec toute sa gamme de nuances ?
Surfaces de noir et surfaces de blancs peuvent soit se confronter directement, soit par le biais de médiations qu'on trouve dans le gris.
Les volumes, aussi, sont importants ?
Ce qui importe c'est la façon dont les choses se mettent à distance et dont elles vont se mettre en profondeur. Le noir, en effet, ne doit jamais être plaqué… Il faut toujours que chez moi il provoque la sensation que je vais m'enfonces dans une profondeur.
Peut-on parler de sujets dans vos œuvres ?
Si sujets il y a, ils touchent à la relation. Pendant longtemps je me suis intéressé à un contexte érotique en dessinant des couples, des personnages, car j'étais plus figuratif alors. Puis, plus j'ai avancé dans mon travail plus le sujet s'est transformé en situation et désormais chaque dessin est une mise en scène.
Comment travaillez-vous ? À quel rythme ?
Avec lenteur… Comme la lumière doit monter lentement, les blancs doivent pouvoir résister sur mon papier. Souvent c'est la relation du gris et du blanc qui détermine la forme du dessin. Mais lorsque je fais des monotypes cela m'oblige par contre à aller très vite à cause de l'impression, d'où un côté instantané.
Comment vous définissez-vous ?
Je suis un peintre dessinant. La formule est de ma femme !
Que vous apporte le regard du public ?
Il m'aide… En communiquant sur mon travail, en l'expliquant j'ai pris conscience que le sujet n'est qu'une porte d'entrée du dessin et non une finalité.
L'étape clé de votre parcours artistique ?
1978, quand j'ai su que la couleur était toute dans le noir et blanc. La période présente aussi où je recherche l'essentiel sans passer par la description. (Propos recueillis par Michèle Acquaviva-Pache)


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Bibliographie
Jean Desmier - l'atelierblancJean Desmier dans l'atelierblancJean Desmier dans l'atelierblanc© photos ADM et Isabelle Lecourt
Le corps du dessin, Centre d'art de Montrelais (septembre 2012)
Désir, désir. à propos de « petites scènes de la vie des femmes ». La libre essentielle (févier 2001)
Le matricule des Anges, (janvier 1998)
Les maisons, Nathalie Mercier, le Généraliste (mars 1997)
Trait de patience, Jean-Jacques Lévêque, Le Matin (mars 1986)
La promenade des hommes, Juliette Kahane (novembre 1993)
Jean Desmier, Françoise Monnin, Artension (novembre 1991)
De quelques tiraillements sur le papier, Jacques Jouet (octobre 1991)
Jean Desmier in « Le dessin », Gérard Xuriguera, éditions Mayer, 1987
Le baiser, Jean-Jacques Lévêque, Le Matin (novembre 1986)
Ça se passe rive droite, Jean Desmier, France-Soir (juin 1984)
Étrange Desmier, Claude Libert, Le Figaro (juin 1983)
Desmier : description et ruine du temps, Pierre Bourgeade (mai 1983)
L'absent des chambres, lsaure de Saint-Pierre (mars 1979)
Le trait d'éros, Jean Marie Tasset, Le Figaro (mars 1979)
 
 
Éditions
Lire et écrire l'espace, In Situ Sélection de travaux réalisés avec des étudiants en architecture dans un site du littoral vendéen. Cette expérimentation plastique dans le paysage, proposée et dirigée par Jean Desmier, enseignant plasticien à l'ENSAPLV, s'est répétée et construite sur de nombreuses années. Le propos de cette expérience est de faire cohabiter deux langages, Peinture et Architecture, dans le questionnement des notions de spatialité qui leurs sont communes. La confrontation au paysage est prise ainsi comme outil de mesure, offrant l'opportunité d'une analyse plus aiguë. Le paysage devient alors témoin, référence, support et moyen d'écriture.

Lire et écrire l'espace, In Situ (DVD), Atelier AMD avec l'ENSAPLV, 2011
Le livre des Maisons, éditions Éolienne, 1997
Petites scènes de la vie des femmes, éditions Éoliennes, 2000
Les Enclos, revue Hespéris n° 7, 2001


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